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   Editorial

Et bien, c'est simple : l'idée est que nous ne pouvons plus accepter de nous laisser tyranniser par la politique du négativisme tous azimuts qui fait que l'on ne nous parle que de ce qui va mal, alors que partout dans le monde et à tout instant, des milliers de gestes, de paroles, de décisions, d'évènements, d'hommes sont porteurs de positif, d'espoir, de générosité, de progrès, d'humanité. Il est grand temps de se bouger : à nous de les chercher, de les débusquer, d'y prêter attention, et surtout d'en parler autour de nous.

Nous ne sommes pas programmés pour désespérer de tout. Nous sommes aussi capables du meilleur.

Mettons en route la spirale du "mieux sur terre" pour en finir avec la spirale infernale du négativisme et tous ensemble nous en sortirons vainqueurs, plus humains et  plus heureux encore !!!

Isabelle, une terrienne

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 15:45

                                               Paroles de Charlie Chaplin....

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place,
au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais

CharlieChaplin-generic[1]

que cela s’appelle… l’Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui,je sais que cela s’appelle… la Maturité. 


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. 


 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme.

Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

 

 

Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. 

 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle…la Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est … le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.

                  

                                   Du chaos naissent les étoiles.

 

                                                                         Charlie Chaplin

 

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 10:57

 

               

               

                « …. Oui, le pessimisme m’ennuie à mourir.

                Il croit si bêtement que ce qui a été va se répéter.

                Peut-on imaginer plus d’incapacité créatrice que

                cette attitude-là dont je ne serai  jamais adepte ? »

 


                           Ch. Singer . Derniers fragments d’un long voyage

                         (Albin Michel)

 

 

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 11:36

      

      C'est impressionnant ! On ne peut que rester coi et admiratif à l'heure d'observer la réaction du peuple japonais face aux terribles et tragiques événements qui s'abattent sur eux. Leur  attitude face au pire nous donne envie de nous incliner et leur dire tout le respect qu'ils nous inspirent. Nous avons tous passé des heures à regarder les images de désolation à la TV ou sur Internet, et à chaque fois, face à ce drame absolu et terrifiant, le japonais nous donne une leçon exemplaire de sang-froid, de dignité, de solidarité, voire d'héroïsme .


     Devant les magasins où tout commence à manquer, dans les stations-services où l'essence se fait de plus en plus rare, dans les aéroports, dans les gares, les japonais font patiemment la queue, gardent leur calme, respectant le tour de chacun, acceptant sans colère et sans peur apparente le peu qu'il est encore possible de  leur proposer.

     Sur les zones potentiellement touchées par les radiations nucléaires, ils appliquent les consignes avec discipline et calme: rester confiné chez soi, porter un masque, ingérer des capsules d'iode. Les autres, ceux qui soignent, ceux qui aident, risquent leur vie à tout moment, pour en sauver d'autres, avec une patience infinie.Tout a été mis en place efficacement pour qu'une chaine d'aide et de solidarité soit mise en place rapidement.

     Enfin , il y a ceux, les super-héros de l'ombre, qui se sacrifient dans les centrales nucléaires pour tenter, à n'importe quel prix, d'éviter l'irréparable.

 

     Il semble que la panique ne puisse pas les atteindre, que la crise de nerfs ne fasse pas partie de leur mode d'être, que la langue japonaise n'ait pas de mots pour exprimer la plainte, le désespoir, on croirait même à en voir les images, que la vie continue de tourner, comme si de rien n'était, inexorablement. 

 

    Alors, bien sûr, on va nous expliquer que les japonais ont été préparés depuis leur plus tendre enfance , que le tremblement de terre fait partie de leur quotidien, qu'ils sont prêts au pire, qu'ils on tout vu ... certes, mais cette fois-ci, la nature semble les frapper encore plus durement que les fois précédentes.

 

    Et leur héroïsme force l'admiration, c'est évident ! Chacun d'entre nous ne peut éviter de se poser la question : comment me comporterais-je dans la même situation ? Les japonais nous donnent aujourd'hui une sacrée leçon de courage et d'humanité.

 

     Chapeau bas !

 

     Isabelle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 11:05

 

       Les Bishnoïs (ou Vishnoï) - de bish, vingt et noï, neuf dans une forme dialectale du hindî -, sont les membres d'une communauté vishnouïte créée par le guru Jambeshwar Bhagavan, appelé communément Jambaji (1451-1536), surtout présente dans l'État du Rajasthan, majoritairement dans les régions de Jodhpur et de Bîkâner, et dans une moindre mesure dans l'état voisin de l'Haryana en Inde. Les Bishnoïs sont des hindous qui suivent vingt-neuf principes, d'où leur nom, édictés par leur gouroû et se caractérisent par leur végétarisme, leur respect strict de toute forme de vie (non-violence, ahimsâ), leur protection des animaux ainsi que des arbres, leur adoption d'une tenue vestimentaire particulière[1]. On les définit souvent comme ayant une forte conscience écologique. Les Bishnoïs vivent paisiblement dans des villages isolés loin des centres de peuplement, et sont environ sept millions en Inde. Ce sont les rares hindous à enterrer leurs morts, du fait du bois qu'il faut couper pour la crémation. Il est probable que les corps soient brûlés avec du bois mort trouvé[réf. nécessaire].

            L'antilope noire (Antilope cervicapra) est particulièrement vénérée par les Bishnoïs, car leur gouroû enseigna qu'il se réincarnerait dans l'une d'elles après sa mort. Sa présence signale souvent un village proche de la communauté où on la trouve communément déambulant en toute confiance entre les maisons. Les femmes bishnoïes sont censées allaiter les faons orphelins.

            Farouchement végétariens, lorsqu'en 1998 l'acteur de Bollywood Salman Khan, après avoir abattu une antilope au cours d'une chasse dans la région de Jodhpur, la communauté s'enflamma, suivit une grève contre les touristes ; l'affaire fit scandale dans toute l'Inde et les Bishnoïs récoltèrent une notoriété qu'ils ne recherchaient nullement[1].

Quelques proverbes Bishnoï

  • Ne jamais abattre un arbre verdoyant, attendre que le bois soit mort pour l'utiliser comme bois de construction.
  • Mettre les morts simplement en terre qui se nourrira de la chair. Faire l'économie du bois pour la crémation ou le cercueil.
  • La propreté et l'hygiène gardent de la maladie.
  • Protéger la vie sauvage qui maintient la fertilité des sols et l'équilibre naturel des espèces. Ils sont tenus de réserver un dixième de leur récolte céréalière pour l'alimentation de la faune locale.
  • Conserver l'eau à l'usage des hommes et des animaux et en construisant des réservoirs partout où cela est nécessaire.
  • Pratiquer le végétarisme et se prémunir de toute addiction.
  • Ne rien attendre du râja ou du gouvernement, ne compter que sur la communauté.
  • Les femmes, sources de la vie, s'habilleront de vêtements rouge ou orange brillant, et les hommes de blanc, symbole de dévotion.
  • La violence n'est acceptable que pour la défense d'un arbre, d'un animal ou de convictions ; il est bon de mourir pour cela.

   Article trouvé sur Google

 

 

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